Coupeur de feu
Couper le feu, qu’est-ce-que c’est ?
Sur place ou même à distance, les coupeurs de feu interviennent désormais à la demande pour soulager les brûlures occasionnées par la chaleur ou le rayonnement.
Autrefois taboue et occultée, cette collaboration est aujourd’hui, de plus en plus reconnue.
Les mécanismes à l’œuvre demeurent toutefois inexpliqués.
Le coupeur de feu est celui ou celle qui stoppe les dommages d’une brûlure et enlève la douleur par une simple imposition des mains et une forme d’incantation, de prière. La pratique n’a jamais cessé dans les villes et les campagnes mais la science ne l’a jamais prise au sérieux et l’assimile à un effet placebo.
Mais l’information tenait encore de la légende urbaine il y a quelques années, elle est désormais avérée.Au nom du pragmatisme, de nombreux hôpitaux collaborent avec des coupeurs de feu aujourd’hui.
Pourquoi consulter rapidement ?
Ceux qui se sont brulés savent combien la douleur de la blessure dure dans le temps mais surtout que la cicatrisation est interminable ; avec en prime une belle cicatrice. On peut parler en mois pour une guérison totale.
Une des caractéristiques du résultat de l’action du coupeur de feu est, hormis l’atténuation de la douleur, une cicatrisation plus rapide et moins ou très peu apparente.
L’avantage de consulter rapidement un coupeur de feu permet d’éviter la rupture de l’épiderme et donc d’empêcher les cicatrices ou des cloques d’apparaitre.
Mais ne nous y trompons pas, le travail d’un coupeur de feu, comme celui d’un magnétiseur consiste essentiellement à apaiser les douleurs. Il ne soigne pas, il apaise.
Qui est concerné ?
Tout le monde, bébé, enfant, adulte et animaux.
Liste non exhaustive des soins
- Brûlures par le feu, l’eau bouillante, le soleil
- Démangeaisons
- Zonas
- Herpès
- La radiothérapie : je peux intervenir avant (séance magnétisme), pendant et après le traitement
Quelques règles
Tout traitement médical ne doit jamais être arrêté.
L’intervention du coupeur de feu n’est pas un acte médical mais une aide complémentaire.
Conformément au code de la santé publique, articles L4161-1 à L4161-6 définissant le délit d’exercice illégal de la médecine, je ne poserai ni ne commenterai aucun diagnostic ni traitement médical suivi par l’un de mes consultants.